Le 26 avril 2025
Olive retourne dans la maison de sa grand-mère Mona. Mona est partie et le silence a tout envahi. Tout est noir, tout semble plus petit. Que faire pour que la vie reprenne le dessus ? Une pomme. Un pépin. Mona aimait la forêt et y glanait des châtaignes, des noix, des glands. Les poches remplies de trésors, elle cachait ses graines un peu partout. Petit à petit, la vie cachée refait surface. Des sons résonnent. Une musique légère, joyeuse, mêlant les sons de la nature et le marimba, le xylophone… Un personnage maladroit, et voilà, qu’une histoire poétique s’écrit devant nous. Une comédienne et un faiseur de sons nous racontent le petit qui devient grand, très grand. Les saisons. La temporalité des humains comparée à celle des arbres. Ils s’émerveillent de ce vivant que nous oublions parfois au détour d’un chemin. La forêt disparue parle de l’infiniment petit et de l’infiniment grand, de l’émerveillement et de la transformation du vivant, pour le très jeune public.